Especial: Envenenados - Crianças atingidas por chuva de agrotóxicos estão abandonadas
Ameaças de morte a moradores e consequências dos agrotóxicos na saúde das pessoas são temas do quinto capítulo da sérieMarilu Cabañas
Rádio Brasil Atual,25 de Julho de 2017 às 11:45
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Pulverização aérea de agrotóxicos traz graves consequências para a saúde dos moradores / Divulgação
Crianças, adolescentes e professores de um assentamento em Goiás ainda sofrem com os efeitos da pulverização aérea de agrotóxicos que atingiu a escola há 4 anos.
O professor Hugo Alves dos Santos foi ameaçado de morte por reivindicar atendimento adequado aos alunos atingidos pela chuva de veneno. "As crianças estão abandonadas, não têm atendimento médico", denuncia o professor.
Este é o tema do sexto capítulo da série “Envenenados”.
Edição: RBA
Crianças, adolescentes e professores de um assentamento em Goiás ainda sofrem com os efeitos da pulverização aérea de agrotóxicos que atingiu a escola há 4 anos.
O professor Hugo Alves dos Santos foi ameaçado de morte por reivindicar atendimento adequado aos alunos atingidos pela chuva de veneno. "As crianças estão abandonadas, não têm atendimento médico", denuncia o professor.
Este é o tema do sexto capítulo da série “Envenenados”.
Edição: RBA
Fonte: BRASIL DE FATO
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Un cocktail chimique cause la mort de 13 enfants au Bangladesh
Attribués officiellement à une toxine présente dans les litchis, les morts seraient en fait liées à une forte exposition aux pesticides selon une étude internationale publiée lundi.
LE MONDE | 25.07.2017 à 19h30 | Par Emilie Veyssié
L’endosulfan est-il l’un des pesticides à l’origine des encéphalites aiguës qui ont causé la mort de 13 enfants en 2012 au Bangladesh ? C’est ce qu’affirme une étude internationale publiée dans l’American Journal of Tropical Medicine and Hygienelundi 24 juillet. L’endusolfan est interdit dans plus de 80 pays à cause de ses effets nocifs sur la santé. Banni en Europedepuis 2005 et depuis seulement fin 2016 aux Etats-Unis, il est utilisé abondamment dans les cultures de litchis au Bangladesh, malgré une autorisation restreinte.
Les auteurs de l’étude, bangladais et américains, concluent que le syndrome ne vient pas de l’ingestion même des litchis mais de l’exposition et de l’ingestion d’un cocktail chimique lié aux cultures du fruit très utilisatrices de pesticides.
Ces résultats remettent en cause la raison officielle des décès, validée en début d’année par une étude parue le 30 janvier dans The Lancet Global Health, qui avait conclu à la responsabilité d’une toxine, la methylenecyclopropyl-glycine, présente naturellement dans les graines du fruit. Elle provoque de l’hypoglycémie surtout chez les enfants souffrant de malnutrition. Cette explication n’a pas convaincu l’équipe de recherche internationale. « La toxine ne peut pas à elle seule être la cause des syndromes d’encéphalites aiguës. Il y a de multiples sources de données qui prouvent que l’empoisonnement à l’agrochimie peut y avoir contribué », écrivent les auteurs.
Proximité de vergers
Les scientifiques ont étudié le cas de 14 enfants bangladais, âgés de 1 à 12 ans, dont 13 sont morts du syndrome cérébral en 2012 dans le district de Dinajpur, dans le nord du pays. Ils ont Interrogé les familles, les médecins et les gardiens des cultures de litchis. Les malades habitaient tous à proximité de 15 vergers sauf un, celui qui a survécu. Ils présentaient des symptômes tels que des convulsions, des suées excessives et des pertes de connaissance. Les jours précédant leur contraction de la maladie, ils s’étaient rendus dans les vergers, où des pesticides sont régulièrement épandus, et ils mangeaient les fruits tombés au sol sans les laver, en enlevant la peau avec leurs dents. La contamination a pu se faire par la peau, par inhalation et par ingestion. Huit enfants avaient des parents qui travaillaient dans les vergers et qui, pour trois d’entre eux, épandaient des pesticides, ramenant ainsi des résidus à leur foyer.
« Nous ne savons pas exactement lesquels de ces pesticides causent la mort, mais nous savons que c’est ce cocktail chimique auquel les enfants sont exposés qui les rend malades », explique Emily Gurley, scientifique à la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health à Baltimore, dans le Maryland, aux Etats-Unis, et principale auteure de l’étude.
Dans le district de Dinajpur, d’autres cas d’encéphalites aiguës ont eu lieu en 2015 qui permettent aux scientifiques de confirmer leur thèse. En revanche, les enfants consommant des litchis dans d’autres zones ne sont pas atteints.
Le syndrome d’encéphalites aiguës touche 133 000 enfants chaque année en Asie selon les estimations des chercheurs. Cette inflammation du cerveau est causée, entre autres, par des virus, des champignons et des produits chimiques. Ces dernières années, les cas mortels sur les enfants se sont amplifiés en Inde, au Bangladesh au Vietnam et en Thaïlande.
Etiquettes arrachées
« Les gardiens des vergers expliquent que les grossistes achètent les pesticides à des marchands locaux comme à des revendeurs non immatriculés près de la frontière indienne, notent les auteurs. Les grossistes retirent parfois l’étiquette des bouteilles afin que les gardiens ne puissent pas savoir ce qu’ils épandent. » Ces derniers ont quand même pu préciser aux auteurs quels pesticides ils utilisaient. Il s’agit du cypermethrin, de l’endosulfan, de l’alpha-cypermethrin et du lambda-cyhalothrin. En effectuant des prélèvements, les scientifiques ont bien trouvé des substances actives tels que le pyrethroids et l’endosulfan.
« Comment peut-on utiliser des pesticides hautement toxiques à côté de maisons où vivent des enfants ? Le danger est trop important », dénonce Emily Gurley. Les pays voisins sont également atteints. En Inde, le gouvernement local du Kerala a estimé que l’usage à tort et à travers de l’endosulfan avait empoisonné 4 270 personnes et causé la mort de 500 autres depuis 1978.
Depuis 1995, les cas de syndromes d’encéphalites aiguës infantiles ont été recensés entre juin et juillet, lors des récoltes de litchis près des vergers à Muzaffarpur, dans l’Etat de Bihar, dans le même pays. Les malades avaient passé du temps dans les cultures.
Une équipe du National Vector Borne Disease Control Program a trouvé en 2014 de fortes concentrations, supérieures aux recommandations, d’alpha-cyphermethrin, un composé chimique très actif, sur les litchis collectés près de Muzaffarpur. Elle concluait que le syndrome d’encéphalites aiguës pouvait avoir été causé par le produit chimique.
Fonte: Le Monde
Tradução:
Um coquetel químico provoca a morte de 13 crianças em Bangladesh
Oficialmente atribuída a uma toxina em litchis, os mortos estão realmente ligadas a elevada exposição aos pesticidas de acordo com um estudo internacional publicado segunda-feira.
Un cocktail chimique cause la mort de 13 enfants au Bangladesh
Attribués officiellement à une toxine présente dans les litchis, les morts seraient en fait liées à une forte exposition aux pesticides selon une étude internationale publiée lundi.
LE MONDE | 25.07.2017 à 19h30 | Par Emilie Veyssié
L’endosulfan est-il l’un des pesticides à l’origine des encéphalites aiguës qui ont causé la mort de 13 enfants en 2012 au Bangladesh ? C’est ce qu’affirme une étude internationale publiée dans l’American Journal of Tropical Medicine and Hygienelundi 24 juillet. L’endusolfan est interdit dans plus de 80 pays à cause de ses effets nocifs sur la santé. Banni en Europedepuis 2005 et depuis seulement fin 2016 aux Etats-Unis, il est utilisé abondamment dans les cultures de litchis au Bangladesh, malgré une autorisation restreinte.
Les auteurs de l’étude, bangladais et américains, concluent que le syndrome ne vient pas de l’ingestion même des litchis mais de l’exposition et de l’ingestion d’un cocktail chimique lié aux cultures du fruit très utilisatrices de pesticides.
Ces résultats remettent en cause la raison officielle des décès, validée en début d’année par une étude parue le 30 janvier dans The Lancet Global Health, qui avait conclu à la responsabilité d’une toxine, la methylenecyclopropyl-glycine, présente naturellement dans les graines du fruit. Elle provoque de l’hypoglycémie surtout chez les enfants souffrant de malnutrition. Cette explication n’a pas convaincu l’équipe de recherche internationale. « La toxine ne peut pas à elle seule être la cause des syndromes d’encéphalites aiguës. Il y a de multiples sources de données qui prouvent que l’empoisonnement à l’agrochimie peut y avoir contribué », écrivent les auteurs.
Proximité de vergers
Les scientifiques ont étudié le cas de 14 enfants bangladais, âgés de 1 à 12 ans, dont 13 sont morts du syndrome cérébral en 2012 dans le district de Dinajpur, dans le nord du pays. Ils ont Interrogé les familles, les médecins et les gardiens des cultures de litchis. Les malades habitaient tous à proximité de 15 vergers sauf un, celui qui a survécu. Ils présentaient des symptômes tels que des convulsions, des suées excessives et des pertes de connaissance. Les jours précédant leur contraction de la maladie, ils s’étaient rendus dans les vergers, où des pesticides sont régulièrement épandus, et ils mangeaient les fruits tombés au sol sans les laver, en enlevant la peau avec leurs dents. La contamination a pu se faire par la peau, par inhalation et par ingestion. Huit enfants avaient des parents qui travaillaient dans les vergers et qui, pour trois d’entre eux, épandaient des pesticides, ramenant ainsi des résidus à leur foyer.
« Nous ne savons pas exactement lesquels de ces pesticides causent la mort, mais nous savons que c’est ce cocktail chimique auquel les enfants sont exposés qui les rend malades », explique Emily Gurley, scientifique à la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health à Baltimore, dans le Maryland, aux Etats-Unis, et principale auteure de l’étude.
Dans le district de Dinajpur, d’autres cas d’encéphalites aiguës ont eu lieu en 2015 qui permettent aux scientifiques de confirmer leur thèse. En revanche, les enfants consommant des litchis dans d’autres zones ne sont pas atteints.
Le syndrome d’encéphalites aiguës touche 133 000 enfants chaque année en Asie selon les estimations des chercheurs. Cette inflammation du cerveau est causée, entre autres, par des virus, des champignons et des produits chimiques. Ces dernières années, les cas mortels sur les enfants se sont amplifiés en Inde, au Bangladesh au Vietnam et en Thaïlande.
Etiquettes arrachées
« Les gardiens des vergers expliquent que les grossistes achètent les pesticides à des marchands locaux comme à des revendeurs non immatriculés près de la frontière indienne, notent les auteurs. Les grossistes retirent parfois l’étiquette des bouteilles afin que les gardiens ne puissent pas savoir ce qu’ils épandent. » Ces derniers ont quand même pu préciser aux auteurs quels pesticides ils utilisaient. Il s’agit du cypermethrin, de l’endosulfan, de l’alpha-cypermethrin et du lambda-cyhalothrin. En effectuant des prélèvements, les scientifiques ont bien trouvé des substances actives tels que le pyrethroids et l’endosulfan.
« Comment peut-on utiliser des pesticides hautement toxiques à côté de maisons où vivent des enfants ? Le danger est trop important », dénonce Emily Gurley. Les pays voisins sont également atteints. En Inde, le gouvernement local du Kerala a estimé que l’usage à tort et à travers de l’endosulfan avait empoisonné 4 270 personnes et causé la mort de 500 autres depuis 1978.
Depuis 1995, les cas de syndromes d’encéphalites aiguës infantiles ont été recensés entre juin et juillet, lors des récoltes de litchis près des vergers à Muzaffarpur, dans l’Etat de Bihar, dans le même pays. Les malades avaient passé du temps dans les cultures.
Une équipe du National Vector Borne Disease Control Program a trouvé en 2014 de fortes concentrations, supérieures aux recommandations, d’alpha-cyphermethrin, un composé chimique très actif, sur les litchis collectés près de Muzaffarpur. Elle concluait que le syndrome d’encéphalites aiguës pouvait avoir été causé par le produit chimique.
Fonte: Le Monde
Tradução:
Um coquetel químico provoca a morte de 13 crianças em Bangladesh
Oficialmente atribuída a uma toxina em litchis, os mortos estão realmente ligadas a elevada exposição aos pesticidas de acordo com um estudo internacional publicado segunda-feira.
LeMonde | 25.07.2017 às 19:30 | Por Emilie Veyssié
Endosulfan é um dos pesticidas causar encefalite aguda que causou a morte de 13 crianças em 2012 em Bangladesh? É o que diz um estudo internacional publicado no American Journal of Tropical Medicine and Hygiene segunda-feira 24 de julho. O endusolfan é proibido em mais de 80 países por causa de seus efeitos nocivos na saúde. Banido na Europa desde 2005 e só desde o final de 2016 nos Estados Unidos, é usado extensivamente em culturas de litchis em Bangladesh , apesar de restrito.
Os autores do estudo, Bangladesh e os EUA concluem que a síndrome não vêm das mesmas lichias admissão mas a exposição e ingestão de um coquetel químico ligada a culturas muito fruto utilizador de pesticidas.
Estes resultados questionam a razão oficial da morte, confirmada no início deste ano por um estudo publicado 30 de janeiro, em The Lancet Global Health , que concluiu com a responsabilidade de uma toxina , a glicina metilenociclopropilo, naturalmente em sementes de frutas. Ela provoca hipoglicemia especialmente entre as crianças desnutridas. Esta explicação não convenceu a equipe de pesquisa internacional. " A toxina não pode por si só ser a causa da síndrome de encefalite aguda. Existem várias fontes de dados para provar que os agroquímicos envenenamento pode ter contribuído ", escrevem os autores.
pomares perto
Os cientistas estudaram o caso de 14 crianças de Bangladesh, com idade entre 1 e 12 anos, 13 dos quais morreram de síndrome cerebral em 2012 no distrito de Dinajpur, no norte do país. Eles pediram as famílias, médicos e cuidadores lichia culturas. Os pacientes eram todos que vivem perto de pomares de 15 exceto um, que sobreviveu. Eles tinham sintomas como convulsões, transpiração excessiva e desmaios. Os dias antes de contrair a doença, que havia visitado os pomares, onde os pesticidas são regularmente Quando aplicado, e comem o fruto caído, sem lavar , removendo a pele com seus dentes. A contaminação foi capaz de obter através da pele, por inalação e ingestão. Oito crianças tinham pais que trabalhavam em pomares e que por três deles, pesticidas épandaient, reduzindo resíduos em suas casas.
" Nós não sabemos exatamente qual destes pesticidas causar a morte, mas sabemos que é o que coquetel químico que as crianças são expostas ed tornando-os doentes ", diz Emily Gurley, um cientista da Escola Johns Hopkins Bloomberg de Saúde Pública em Baltimore, Maryland, EUA, e principal autor do estudo.
No distrito de Dinajpur, outros casos de encefalite aguda ocorreu em 2015, o que permitirá aos cientistas confirmar sua tese. Em contraste, crianças que comem lichias em outras áreas não são afetados.
A síndrome de encefalite aguda afeta 133.000 crianças por ano na Ásia estimados para os pesquisadores. Esta inflamação do cérebro é causada, entre outros, vírus, fungos e produtos químicos. Nos últimos anos, as mortes de crianças são amplificados na Índia , Bangladesh para Vietnam e Tailândia .
etiquetas rasgado
"Os guardas pomares explicam que os grossistas comprar pesticidas a partir de comerciantes locais como revendedores não registradas perto da fronteira com a Índia, os autores observam. Atacadistas às vezes remover o rótulo das garrafas para que os guardas não podem saber o que eles épandent. " Eles ainda foram capazes de especificar os autores que os pesticidas que usavam. Esta é a cipermetrina, endosulfan, alfa-cipermetrina e cialotrina-lambda. Ao fazer as amostras, os cientistas descobriram muitas substâncias activas, como piretróides e endosulfan.
" Como podemos usar pesticidas altamente tóxicos perto de casas onde as crianças vivem? O perigo é muito grande ", denuncia Emily Gurley. Os países vizinhos também são alcançados. Na Índia, o governo local de Kerala descobriram que o uso errado e através endosulfan tinha envenenado 4.270 pessoas e matou outros 500 desde 1978.
Desde 1995, foram relatados casos de síndrome de encefalite aguda infantil entre junho e julho, quando culturas lichia pomares perto Muzaffarpur de Bihar, no mesmo país. Os pacientes tinha passado um tempo nas culturas.
Uma equipa do Programa de Controlo de Doenças Vector Borne Nacional em 2014 encontrado altas concentrações acima orientações,-cyphermethrin alfa um composto químico muito activa, em líchias recolhidos perto Muzaffarpur. Concluiu-se que a síndrome de encefalite aguda pode ter sido causada pela química.
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Se você não concorda com os absurdos e abusos decorrentes do uso de produtos químicos nocivos a saúde humana e usados de forma irresponsável na agricultura e em produtos industrializados, entre na campanha por uma Química Verde, Sustentável e Saudável, é possível.
Endosulfan é um dos pesticidas causar encefalite aguda que causou a morte de 13 crianças em 2012 em Bangladesh? É o que diz um estudo internacional publicado no American Journal of Tropical Medicine and Hygiene segunda-feira 24 de julho. O endusolfan é proibido em mais de 80 países por causa de seus efeitos nocivos na saúde. Banido na Europa desde 2005 e só desde o final de 2016 nos Estados Unidos, é usado extensivamente em culturas de litchis em Bangladesh , apesar de restrito.
Os autores do estudo, Bangladesh e os EUA concluem que a síndrome não vêm das mesmas lichias admissão mas a exposição e ingestão de um coquetel químico ligada a culturas muito fruto utilizador de pesticidas.
Estes resultados questionam a razão oficial da morte, confirmada no início deste ano por um estudo publicado 30 de janeiro, em The Lancet Global Health , que concluiu com a responsabilidade de uma toxina , a glicina metilenociclopropilo, naturalmente em sementes de frutas. Ela provoca hipoglicemia especialmente entre as crianças desnutridas. Esta explicação não convenceu a equipe de pesquisa internacional. " A toxina não pode por si só ser a causa da síndrome de encefalite aguda. Existem várias fontes de dados para provar que os agroquímicos envenenamento pode ter contribuído ", escrevem os autores.
pomares perto
Os cientistas estudaram o caso de 14 crianças de Bangladesh, com idade entre 1 e 12 anos, 13 dos quais morreram de síndrome cerebral em 2012 no distrito de Dinajpur, no norte do país. Eles pediram as famílias, médicos e cuidadores lichia culturas. Os pacientes eram todos que vivem perto de pomares de 15 exceto um, que sobreviveu. Eles tinham sintomas como convulsões, transpiração excessiva e desmaios. Os dias antes de contrair a doença, que havia visitado os pomares, onde os pesticidas são regularmente Quando aplicado, e comem o fruto caído, sem lavar , removendo a pele com seus dentes. A contaminação foi capaz de obter através da pele, por inalação e ingestão. Oito crianças tinham pais que trabalhavam em pomares e que por três deles, pesticidas épandaient, reduzindo resíduos em suas casas.
" Nós não sabemos exatamente qual destes pesticidas causar a morte, mas sabemos que é o que coquetel químico que as crianças são expostas ed tornando-os doentes ", diz Emily Gurley, um cientista da Escola Johns Hopkins Bloomberg de Saúde Pública em Baltimore, Maryland, EUA, e principal autor do estudo.
No distrito de Dinajpur, outros casos de encefalite aguda ocorreu em 2015, o que permitirá aos cientistas confirmar sua tese. Em contraste, crianças que comem lichias em outras áreas não são afetados.
A síndrome de encefalite aguda afeta 133.000 crianças por ano na Ásia estimados para os pesquisadores. Esta inflamação do cérebro é causada, entre outros, vírus, fungos e produtos químicos. Nos últimos anos, as mortes de crianças são amplificados na Índia , Bangladesh para Vietnam e Tailândia .
etiquetas rasgado
"Os guardas pomares explicam que os grossistas comprar pesticidas a partir de comerciantes locais como revendedores não registradas perto da fronteira com a Índia, os autores observam. Atacadistas às vezes remover o rótulo das garrafas para que os guardas não podem saber o que eles épandent. " Eles ainda foram capazes de especificar os autores que os pesticidas que usavam. Esta é a cipermetrina, endosulfan, alfa-cipermetrina e cialotrina-lambda. Ao fazer as amostras, os cientistas descobriram muitas substâncias activas, como piretróides e endosulfan.
" Como podemos usar pesticidas altamente tóxicos perto de casas onde as crianças vivem? O perigo é muito grande ", denuncia Emily Gurley. Os países vizinhos também são alcançados. Na Índia, o governo local de Kerala descobriram que o uso errado e através endosulfan tinha envenenado 4.270 pessoas e matou outros 500 desde 1978.
Desde 1995, foram relatados casos de síndrome de encefalite aguda infantil entre junho e julho, quando culturas lichia pomares perto Muzaffarpur de Bihar, no mesmo país. Os pacientes tinha passado um tempo nas culturas.
Uma equipa do Programa de Controlo de Doenças Vector Borne Nacional em 2014 encontrado altas concentrações acima orientações,-cyphermethrin alfa um composto químico muito activa, em líchias recolhidos perto Muzaffarpur. Concluiu-se que a síndrome de encefalite aguda pode ter sido causada pela química.
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